Victoria 1894 | vis à vis 1900 | vis à vis 1900 | vis à vis 1900 |
cab 1900 | course 1902 | course 1902 |
Histoire de la marque |
La société de Dion Bouton a été fondée en 1882 par le comte Jules-Albert de Dion, originaire de la région nantaise,
un homme fortuné passionné d’automobile.
Avec deux de ses acolytes, Georges Bouton, constructeur de locomotives miniatures, et Armand Trépardoux,
ingénieur férude machines à vapeur,
ils produisent leur première voiture à vapeur en 1883 sous la marque "Trépardoux et Cie, ingénieurs-constructeurs".
Avec l’émergence de nouvelles techniques de propulsion, De Dion et Bouton sont de plus en plus attirés par le moteur à pétrole, encore à son balbutiement, laissant Trépardoux et sa vapeur.
un homme fortuné passionné d’automobile.
Avec deux de ses acolytes, Georges Bouton, constructeur de locomotives miniatures, et Armand Trépardoux,
ingénieur férude machines à vapeur,
ils produisent leur première voiture à vapeur en 1883 sous la marque "Trépardoux et Cie, ingénieurs-constructeurs".
Avec l’émergence de nouvelles techniques de propulsion, De Dion et Bouton sont de plus en plus attirés par le moteur à pétrole, encore à son balbutiement, laissant Trépardoux et sa vapeur.
Le Marquis De Dion et M. Georges Bouton
En 1889, la société porte désormais le nom "de Dion Bouton”.En 1895, la révolution est en marche : ils créent un tricycle à pétrole ! Il faudra attendre 1899 pour voir la première voiture à pétrole sortir de leurs ateliers. Véritable emblème de la Belle Epoque, les de Dion Bouton connaîtront un très grand succès. Parmi les modèles phare : le monocylindre "vis-à-vis” type D (puis deux et quatre cylindres) ou type G (1900), ou encore la Populaire (1903).
La firme se diversifie, des bicyclettes, des autos, des camions et même des locomotives (les fameuses Micheline), sortent de l'usine. Elle fabrique aussi des moteurs d'avion et de bateau pour l'armée et dépose environ quatre cents brevets.
La crise économique mondiale du début des années 30 porte un dernier coup fatal à l'entreprise et la production des voitures de tourisme stoppe en 1933, l'année où Jules-Albert de Dion se retire des affaires. Le créneau des véhicules industriels est repris par d'anciens collaborateurs qui maintiennent la production d'autobus, de balayeuses et d'arroseuses, ainsi que les autorails jusqu'en 1953. Cependant, le nom de Dion-Bouton persiste encore jusque dans les années 60, avec la fabrication de bicyclettes, de cycles,
de vélomoteurs et de scooters.
La firme se diversifie, des bicyclettes, des autos, des camions et même des locomotives (les fameuses Micheline), sortent de l'usine. Elle fabrique aussi des moteurs d'avion et de bateau pour l'armée et dépose environ quatre cents brevets.
La crise économique mondiale du début des années 30 porte un dernier coup fatal à l'entreprise et la production des voitures de tourisme stoppe en 1933, l'année où Jules-Albert de Dion se retire des affaires. Le créneau des véhicules industriels est repris par d'anciens collaborateurs qui maintiennent la production d'autobus, de balayeuses et d'arroseuses, ainsi que les autorails jusqu'en 1953. Cependant, le nom de Dion-Bouton persiste encore jusque dans les années 60, avec la fabrication de bicyclettes, de cycles,
de vélomoteurs et de scooters.
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